lucile butel pour pomme d’api
Loïc Boyer
J’apprécie qu’un magazine fasse le choix du même auteur pour ses couvertures, comme le Magazine Littéraire en son temps, ou Pomme d’Api - en son temps aussi.
Pour faire très vite, L.B. a commencé au Père Castor, mais ça n’était plus si bien à cette époque, puis chez Bayard avec David et Marion «nous allons tous boire une orangeade ou peut-être même une bonne bière»*, elle a aussi beaucoup travaillé sur des livres scolaires, et encore beaucoup d’albums jusqu’à la fin du XXème siècle.
Je t’ai réuni quelques couvertures de Lucile Butel en deux albums photos
1967-68 (les débuts)
1970-73 (l’âge d’or - même si je sais que tu n’aimes pas cette formule).
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*in Pomme d’Api n°53, 15 juillet 1970, p3
Pour faire très vite, L.B. a commencé au Père Castor, mais ça n’était plus si bien à cette époque, puis chez Bayard avec David et Marion «nous allons tous boire une orangeade ou peut-être même une bonne bière»*, elle a aussi beaucoup travaillé sur des livres scolaires, et encore beaucoup d’albums jusqu’à la fin du XXème siècle.
Je t’ai réuni quelques couvertures de Lucile Butel en deux albums photos
1967-68 (les débuts)
1970-73 (l’âge d’or - même si je sais que tu n’aimes pas cette formule).
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*in Pomme d’Api n°53, 15 juillet 1970, p3
