souriez!
Loïc Boyer
L’expo est sous-titrée L’univers imprimé de Pontus Hultén.
Moi ça m’intéresse parce que je croise souvent le gars dans mes recherches, que ça soit comme directeur du Moderna Museet de Stockholm dans les années 1960 ou au Centre Beaubourg ensuite.
Donc je vais voir et alors c’est une expo très modeste (sous ma plume c’est un compliment) où l’on aborde la carrière d’un (passionnant) directeur de musée par le biais du design graphique qui a accompagné ses projets. Voilà qui est très réjouissant.
Ça ouvre des perspectives excitantes quand à l’étude de l’héritage visuel laissé par des personnalités qui ne sont pas des créateurs de formes au sens strict du terme mais qui ont permis, encouragé, la production de tout un corpus graphique.
L'échelle de l’exposition ne permet pas de rentrer dans les détails mais justement on le sentiment d’un commencement, du début d’une recherche possible et ça aussi c’est assez réjouissant.
Moi ça m’intéresse parce que je croise souvent le gars dans mes recherches, que ça soit comme directeur du Moderna Museet de Stockholm dans les années 1960 ou au Centre Beaubourg ensuite.
Donc je vais voir et alors c’est une expo très modeste (sous ma plume c’est un compliment) où l’on aborde la carrière d’un (passionnant) directeur de musée par le biais du design graphique qui a accompagné ses projets. Voilà qui est très réjouissant.
Ça ouvre des perspectives excitantes quand à l’étude de l’héritage visuel laissé par des personnalités qui ne sont pas des créateurs de formes au sens strict du terme mais qui ont permis, encouragé, la production de tout un corpus graphique.
L'échelle de l’exposition ne permet pas de rentrer dans les détails mais justement on le sentiment d’un commencement, du début d’une recherche possible et ça aussi c’est assez réjouissant.


