Le Journal de Michel Perdrial
Le Journal de Michel Perdrial



Loïc Boyer
Je suis l’auteur de textes courts qui furent publiés depuis mil neuf cent quatre-vingt-quinze dans des revues littéraires en France (Supérieur Inconnu, Supplément d’Ame, Nouvelle Donne, Le Bord de l’Eau, Pris de Peur, l’Art du Bref, Sol’Air, Gros Textes, Salmigondis, Verso, Décharge, Bulle, Filigranes, Diérèse, Martobre, Comme ça et Autrement, (Cahier d’) Ecritures, La Nef des Fous), en Belgique (Traversées, Ecrits Vains, L’Arbre à Plumes, Inédit Nouveau, Bleu d’Encre), au Canada (Les Saisons Littéraires) et en Italie (Les Cahiers du Ru).
Les courageuses Editions du Chardon ont publié en mil neuf cent quatre-vingt-dix-neuf Erotica, un recueil de vingt-huit de ces textes, illustré par Isabelle Pio et Antoine Lopez et préfacé par Sarane Alexandrian, toujours disponible auprès de moi.
Je suis également l’auteur d’une pièce de théâtre et de plusieurs romans ou récits à ce jour inédits.
Depuis le onze novembre deux mille six, je publie mon Journal via Internet, un temps sous-titré Persiflages, moquages et autres énervages mâtinés de complimentages et de contentages. Sa première partie est lisible chez Eklablog, la deuxième ici.
Je vis au centre de Rouen dans un ancien monastère où autrefois les Sœurs de la Miséricorde se vouaient à l’éducation des jeunes filles.







Rss

Mon point commun avec Arthur Schopenhauer

23 août 2021


Alors que j’avance dans ma lecture de la Correspondance complète d’Arthur Schopenhauer publiée chez Alive, je me découvre un point commun avec lui :
Depuis 8 jours j’ai un rhumatisme au pied qui empêche mes promenades, ce qui m’indigne beaucoup, même si je m’en suis moi-même rendu coupable, par inattention. écrit-il à Julius Frauenstädt, le six novembre mil huit cent cinquante-quatre.
Comment peut-on être coupable de son rhumatisme par inattention ? Je me le demande. Il a soixante-six ans.
Le trente novembre, il écrit au même :
J’ai soigné mon rhumatisme avec cette panacée très appréciée en ce moment, l’eau de vie avec du sel, ce que je vous recommande pour cette maladie et 20 autres, selon les instructions de Wm. Lee, « Le médecin de soi », traduit de l’anglais, 4e éd. 1850, 38 p. Très pratique !
J’hésite à suivre le conseil.
                                                                      *
Un Point Rouen dans cette correspondance à l’occasion d’une lettre à Julius Frauenstädt postée le quatre février mil huit cent cinquante-quatre :
Bel article dernièrement sur la mise au concours de Rouen, dans le Unterhaltungsblatt.
On n’en saura pas plus.
 


Nouveau commentaire :