1968 and the boundaries of childhood - deuxième jour
De retour dans la très agréable bibliothèque de Tours, je squatte la terrasse le plus longtemps possible en la couvrant de miettes de viennoiseries, j’adore cette endroit, probablement le meilleur spot de Tours selon Cécile, qui sait vivre.

Mais cette longue journée commence très fort avec Nelly Chabrol-Gagne (la construction des images dans quelques albums engagés) suivie aussitôt par l’artiste Andrea Francke (the book is an object that enables other things to happen) et la visite de l’expo de livres soixante-huitards à la fois français et britanniques.
Avant d’aller manger il y a encore Anna Antoniazzi (courts-métrages d’animation pour la RAI) et Anita Wincencjusz-Patyna (le 68 polonais a eu lieu en 56).

C’est le ventre plein mais toutefois noué que j’ouvre l’après-midi (les aires de jeu vues par le prisme du magazine CREE) avant que Jonathan Bignell ne nous fasse part des ses recherches sur la possibilité de programmes révolutionnaires à la télévisions anglaise.
Après une pause, le gros morceau avec quatre intervenants à la suite: Kimberley Reynolds (Alice’s Restaurant, Woodstock et War in Lollyland), Bettina Kümmerling-Meibauer (les livres gauchistes de l’Allemagne post-68), David Buckingham (Oz magazine n°28 - the Schoolkids issue) et last but not least Sophie Heywood sur les livres d’Harlin Quist et François Ruy-Vidal.

C’est beaucoup, c’est énorme et tout est en anglais, je vais bien dormir ce soir à moins que cette concentration d’images et d’idées ne me tiennent éveillé une partie de la nuit…

Je te laisse avec quelques nouvelles vieilles images ci-dessous, je dois maintenant rejoindre la troupe pour le Social dinner. À demain pour la suite et la fin.

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