Concert Bach (Stokowski) Berg Brahms à l’Opéra de Rouen

8 juin 2015


Pour mon dernier concert de l’année à l’Opéra de Rouen, ce jeudi soir, je suis au premier balcon d’où j’ai vue plongeante sur le plateau où l’on attend beaucoup de monde à en juger par le nombre de pupitres.
Sous la baguette de Leo Hussain cela débute par Passacaille et fugue en do mineur de Leopold Stokowski d’après Johann Sebastian Bach, une réécriture qui me laisse froid, puis Jane Peters est le violon solo du Concerto « A la mémoire d’un ange » écrit par Alban Berg après le décès à dix-huit ans de Manon Gropius, fille d’Alma Mahler, pendant lequel, plus qu’au violon, je porte attention à l’usage de l’énorme sourdine dans le jeu du tuba.
Après l’entracte, c’est la Symphonie numéro quatre en mi mineur de Johannes Brahms, qui me confirme que j’aime peu Brahms.
Ces grosses machines orchestrales à nombreux cuivres, il y a toujours un moment où cela me fait penser à la fanfare.
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Quatre-vingt-dix euros d’amende, un point de permis en moins, c'est ce qu’il m’en coûte d’avoir été au vernissage de l’exposition Jacques Villéglé, affiche et alphabet au Musée de Louviers le vingt-deux mai dernier, cela pour être entrer à Igoville à cinquante et un kilomètres heure (en fait, j’étais à soixante et un mais la Police offre dix kilomètres heure de rabais),
C’est payer cher ce petit kilomètre en trop (pour le même prix, j’aurais pu rouler jusqu’à soixante-neuf kilomètres heures, soixante-dix-neuf avec le rabais).