Croisant Philippe Delerm après en avoir dit du mal

21 août 2023


A chaque fois que j’en dis du mal je croise Philippe Delerm (avec Martine). Ce samedi, c’est à treize heures trente, rue Saint-Romain, devant l’Hôtel de la Cathédrale. Elle et lui portent des sacs en papier, venus faire des achats à Rouen comme beaucoup d’Eurois. Une autre fois, c’était dans un bus parisien du côté de Saint-Lazare. (J’exagère. Une fois ça ne s’est pas produit. En revanche, je reçus un mail fâché de Martine.)
Ce jour, c’est quand je rentre de mon café lecture au Son du Cor, Lettres aux petites fermières de Colette. Le vingt-huit août mil neuf cent quarante-deux, elle leur écrit ceci depuis Paris : Mes chères petites filles, il fait 37°. Cette nuit, entre 11 heures et minuit 31°, 27° à 2 heures du matin. Aussi vous réponds-je en style… bref.
On voit qu’à cette époque il pouvait faire aussi chaud qu’aujourd’hui dans la deuxième moitié d'août. Ce qui ne remet pas en question le changement climatique. Bref…
                                                              *
Sur un ticheurte : « J’aime mon vélo ».
J’espère un « J’aime ma voiture » et un « J’aime mes chaussures ».
                                                              *
Encore une de ma connaissance pas vue depuis longtemps. Elle marchait avec une canne. Elle marche avec un déambulateur.
                                                              *
Plus qu’une boîte à clés à l’entrée de la copropriété. L’autre a disparu, enlevée pas son propriétaire ou volée.