La Cenerentola de Gioacchino Rossini à l’Opéra de Rouen

19 janvier 2015


Après un mois et demi sans mettre le pied, l’œil et l’oreille à l’Opéra de Rouen, j’y suis de retour ce dimanche à seize heures en dé deux à l’orchestre pour La Cenerentola de Gioacchino Rossini. Ainsi situé près de la scène j’ai du mal à lire le surtitrage. Heureusement, je connais l’histoire, même si Charles Perrault  est revisité.
C’est une agréable après-midi récréative, l’occasion d’oublier pendant plus de deux heures l’actualité pesante grâce à la bonne musique dirigée par Antonino Fogliani, la bonne mise en scène de Sandrine Anglade et la bonne distribution (même si à l’entracte il s’en trouve un pour se plaindre du ténor).
Pour ma part, je suis content de trouver dans le rôle d’une des méchantes sœurs, la malicieuse Jenny Daviet. Je serais Prince que je modifierais la fin de l’histoire, mais là non, le Prince épouse comme il se doit la vertueuse Cendrillon avec qui il travaillera à la reproduction de l’espèce.
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Début de roman à suspense entendu dans la rue : « Ne voyant pas venir l’autorisation, je vais voir le chef de service… »
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Conseil, que je ne suivrai pas, de la dame de la table d’à côté au Socrate :
-Trois jours de jeûne pur puis trois jours de mono diète aux petits légumes à chaque changement de saison. On sent que le corps se libère des toxines.
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Dans un café parisien, mercredi dernier :
-Des films historiques qui se passent souvent à Rome avec des chars et des soldats, ça s’appelle comment ?
-Gospel ?