Le vote Le Pen comme aide à la prise de décision immobilière (où louer ? où acheter ?)

25 avril 2017


Un suffrage exprimé sur quatre en Seine-Maritime, un sur trois dans l’Eure, l’ancienne Haute-Normandie est du côté noir de la carte, sévèrement atteinte par le vote Le Pen, cette maladie difficilement curable partie du Nord et de l’Est (avec une excroissance dans le Sud).
Cette peste n’est pas uniformément répartie dans le département. A Rouen, le F-Haine ne fait que douze pour cent. Il arrive très souvent en tête dans les trous perdus et les petites villes où l’on s’emmerde, du genre Yvetot ou Louviers (ville natale), endroits à éviter.
Caen fait mieux que Rouen. La fille Le Pen n’y obtient que dix pour cent et arrive cinquième après Macron, Mélenchon, Fillon et Hamon.
La ville la plus saine reste Paris (cinq pour cent), où il m’est agréable d’être un jour sur sept.
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A entendre toujours parler de Marine (comme ils l’appellent) au marché du Clos Saint-Marc, je pensais que son score rouennais serait beaucoup plus élevé. C’est simplement que ceux qui votent pour elle le disent désormais haut et fort et le répètent sans cesse, faisant croire qu’ils sont bien plus nombreux qu’avant.
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Le vrai faux mendiant (vrai quémandeur, faux miséreux) qui officie régulièrement le matin rue Saint-Romain devant l'Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours (dite des Mormons) est l’un de ces lepénistes rouennais. Depuis des semaines, il clame qu’on va pouvoir régler leur compte à tous les faux-culs.