Mon point commun avec Arthur Schopenhauer

23 août 2021


Alors que j’avance dans ma lecture de la Correspondance complète d’Arthur Schopenhauer publiée chez Alive, je me découvre un point commun avec lui :
Depuis 8 jours j’ai un rhumatisme au pied qui empêche mes promenades, ce qui m’indigne beaucoup, même si je m’en suis moi-même rendu coupable, par inattention. écrit-il à Julius Frauenstädt, le six novembre mil huit cent cinquante-quatre.
Comment peut-on être coupable de son rhumatisme par inattention ? Je me le demande. Il a soixante-six ans.
Le trente novembre, il écrit au même :
J’ai soigné mon rhumatisme avec cette panacée très appréciée en ce moment, l’eau de vie avec du sel, ce que je vous recommande pour cette maladie et 20 autres, selon les instructions de Wm. Lee, « Le médecin de soi », traduit de l’anglais, 4e éd. 1850, 38 p. Très pratique !
J’hésite à suivre le conseil.
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Un Point Rouen dans cette correspondance à l’occasion d’une lettre à Julius Frauenstädt postée le quatre février mil huit cent cinquante-quatre :
Bel article dernièrement sur la mise au concours de Rouen, dans le Unterhaltungsblatt.
On n’en saura pas plus.