Le Journal de Michel Perdrial
Le Journal de Michel Perdrial



Loïc Boyer
Je suis l’auteur de textes courts qui furent publiés depuis mil neuf cent quatre-vingt-quinze dans des revues littéraires en France (Supérieur Inconnu, Supplément d’Ame, Nouvelle Donne, Le Bord de l’Eau, Pris de Peur, l’Art du Bref, Sol’Air, Gros Textes, Salmigondis, Verso, Décharge, Bulle, Filigranes, Diérèse, Martobre, Comme ça et Autrement, (Cahier d’) Ecritures, La Nef des Fous), en Belgique (Traversées, Ecrits Vains, L’Arbre à Plumes, Inédit Nouveau, Bleu d’Encre), au Canada (Les Saisons Littéraires) et en Italie (Les Cahiers du Ru).
Les courageuses Editions du Chardon ont publié en mil neuf cent quatre-vingt-dix-neuf Erotica, un recueil de vingt-huit de ces textes, illustré par Isabelle Pio et Antoine Lopez et préfacé par Sarane Alexandrian, toujours disponible auprès de moi.
Je suis également l’auteur d’une pièce de théâtre et de plusieurs romans ou récits à ce jour inédits.
Depuis le onze novembre deux mille six, je publie mon Journal via Internet, un temps sous-titré Persiflages, moquages et autres énervages mâtinés de complimentages et de contentages. Sa première partie est lisible chez Eklablog, la deuxième ici.
Je vis au centre de Rouen dans un ancien monastère où autrefois les Sœurs de la Miséricorde se vouaient à l’éducation des jeunes filles.







Rss

Histoire belge (épilogue)

2 septembre 2021


« Notre ami belge a-t-il retrouvé sa voiture dimanche ? » demandé-je ce mercredi au serveur qui était de service ce jour-là. « Oui, elle était dans une petite rue par là-bas. Il était vachement content ». Cet aventurier a été bien inspiré en venant chercher de l’aide au Son du Cor. Il gardera un bon souvenir des Français (sauf de celle pour qui il est venu jusqu’à Rouen et qui ne l’a pas reçu).
Tout comme je garde un excellent souvenir des Belges pour leur serviabilité. Je me rappelle d’une fois où, en voiture avec celle qui m’accompagnait, nous n’arrivions pas à trouver le centre de Bruxelles. L’homme à qui nous avons demandé de l’aide plutôt que se lancer dans des explications compliquées nous a dit « Suivez-moi, je vous y emmène ».