Le Journal de Michel Perdrial
Le Journal de Michel Perdrial



Loïc Boyer
Je suis l’auteur de textes courts qui furent publiés depuis mil neuf cent quatre-vingt-quinze dans des revues littéraires en France (Supérieur Inconnu, Supplément d’Ame, Nouvelle Donne, Le Bord de l’Eau, Pris de Peur, l’Art du Bref, Sol’Air, Gros Textes, Salmigondis, Verso, Décharge, Bulle, Filigranes, Diérèse, Martobre, Comme ça et Autrement, (Cahier d’) Ecritures, La Nef des Fous), en Belgique (Traversées, Ecrits Vains, L’Arbre à Plumes, Inédit Nouveau, Bleu d’Encre), au Canada (Les Saisons Littéraires) et en Italie (Les Cahiers du Ru).
Les courageuses Editions du Chardon ont publié en mil neuf cent quatre-vingt-dix-neuf Erotica, un recueil de vingt-huit de ces textes, illustré par Isabelle Pio et Antoine Lopez et préfacé par Sarane Alexandrian, toujours disponible auprès de moi.
Je suis également l’auteur d’une pièce de théâtre et de plusieurs romans ou récits à ce jour inédits.
Depuis le onze novembre deux mille six, je publie mon Journal via Internet, un temps sous-titré Persiflages, moquages et autres énervages mâtinés de complimentages et de contentages. Sa première partie est lisible chez Eklablog, la deuxième ici.
Je vis au centre de Rouen dans un ancien monastère où autrefois les Sœurs de la Miséricorde se vouaient à l’éducation des jeunes filles.







Rss

Mon pronostic pour deux mille vingt-sept

28 août 2022


Je ne sais pas dans quel état sera le monde dans cinq ans, s’il sera encore possible d’organiser une Election Présidentielle en France. Faisons l’hypothèse que oui et comme je ne sais pas non plus dans quel état je serai à cette date, ni même si je serai encore là, donnons le résultat dès maintenant.
Chez les Macronistes, cela s’est vu à leur attitude tout l’été, Gérald Darmanin et Bruno Lemaire seront candidats à la succession d’Emmanuel Macron, A qui s’ajoutera Edouard Philippe. Du côté de l’autre Droite, il faudra compter avec Laurent Wauquiez et Xavier Bertrand. On pourrait donc avoir jusqu’à cinq candidats, deux au minimum.
A l’Extrême-Droite, Le Pen y retournera (ou un remplaçant) et si la Nupés tient le coup, Mélenchon (ou un remplaçant) sera possiblement le seul candidat de la Gauche, laquelle a vu ce que ça donnait quand elle se présentait séparée.
Dans cette circonstance éventuelle, au premier tour Le Pen (ou son remplaçant) et Mélenchon (ou son remplaçant) seront à trente pour cent. Les quarante pour cent restant seront pour la Droite, à partager entre les cinq ou quatre ou trois ou deux Macronistes et non Macronistes.
Et alors, au second tour, Le Pen (ou son remplaçant) pourrait faire face à Mélenchon (ou son remplaçant) et gagnerait avec les voix de Droite, une partie votant pour, une partie s’abstenant.
Avoir Mélenchon (ou son remplaçant) au second tour, c’est l’assurance de donner le pouvoir à Le Pen (ou son remplaçant). C’est là où je voulais en venir.
                                                                     *
Mon point de vue sur la situation actuelle : « On est bien dans la merde ». (On représentant les humains.)