Le Journal de Michel Perdrial
Le Journal de Michel Perdrial



Loïc Boyer
Je suis l’auteur de textes courts qui furent publiés depuis mil neuf cent quatre-vingt-quinze dans des revues littéraires en France (Supérieur Inconnu, Supplément d’Ame, Nouvelle Donne, Le Bord de l’Eau, Pris de Peur, l’Art du Bref, Sol’Air, Gros Textes, Salmigondis, Verso, Décharge, Bulle, Filigranes, Diérèse, Martobre, Comme ça et Autrement, (Cahier d’) Ecritures, La Nef des Fous), en Belgique (Traversées, Ecrits Vains, L’Arbre à Plumes, Inédit Nouveau, Bleu d’Encre), au Canada (Les Saisons Littéraires) et en Italie (Les Cahiers du Ru).
Les courageuses Editions du Chardon ont publié en mil neuf cent quatre-vingt-dix-neuf Erotica, un recueil de vingt-huit de ces textes, illustré par Isabelle Pio et Antoine Lopez et préfacé par Sarane Alexandrian, toujours disponible auprès de moi.
Je suis également l’auteur d’une pièce de théâtre et de plusieurs romans ou récits à ce jour inédits.
Depuis le onze novembre deux mille six, je publie mon Journal via Internet, un temps sous-titré Persiflages, moquages et autres énervages mâtinés de complimentages et de contentages. Sa première partie est lisible chez Eklablog, la deuxième ici.
Je vis au centre de Rouen dans un ancien monastère où autrefois les Sœurs de la Miséricorde se vouaient à l’éducation des jeunes filles.







Rss

Confiné (deux) quarante-deux

11 décembre 2020


Ruée dans les magasins. Chute humide des températures. Les deux causes probables de la stagnation de la diminution puis de la remontée des cas de Covid en France, et ailleurs en Europe.
Ce jeudi à dix-huit heures, Jean Castex, Premier Ministre, Droitiste, sort sa règle en bois. Une nouvelle fois le monde de la Culture (comme on dit) en prend un bon coup sur les doigts. Théâtres, cinémas et musées resteront fermés contrairement à ce qu’Emmanuel Macron, Président de la République, Centriste de Droite, avait plus ou moins promis.
Qui peut croire que cette décision permettra d’échapper à la nouvelle aggravation de l’augmentation des cas de Covid, alors qu’à la ruée finale en magasins dans l’air froid et humide vont s’ajouter les fêtes de fin d’année, même restreintes. Le sept janvier, ces lieux ne pourront sans doute pas rouvrir.
Personnellement, de ce confinement remplacé par un couvre-feu, je n’ai rien à attendre. Impossible d’aller en vadrouille en hiver sans possibilité de s’abriter et tant que les cafés ne sont pas rouverts, c’est exclu.
                                                            *
Comme si ce qui se passe en ce temps de froidure et d’humidité n’était pas prévisible après les cleusteurs découverts dans les abattoirs l’été dernier.