Le ciel est orangé côté mer et gris côté terre ce mardi et mon début de rhume transformé en mal de gorge. En descendant au Quay des Brunes, je fais trois photos de Ty-Huel, l’ébouriffante construction plate et rose à tourelle.
Mon petit déjeuner terminé, je suis une fois encore le bord de la mer jusqu’au Portrieux puis arpente les ruelles intérieures de ce quartier autrefois habité par des pêcheurs. On y trouve de jolies maisons et la chapelle Sainte-Anne, toute blanche, un peu cachée par les arbres.
Ce début de matinée est ensoleillé. La terrasse du Poisson Rouge s’impose, face au Port où flottent les petits bateaux. Les commerçantes du coin prennent leur café quotidien en parlant des films qu’elles ont envie de voir. Comment ne pas faire oublier son âge ? En parlant du cinéma en l’appelant le cinoche.
Quand le ciel se couvre, je lève le camp et, sur le chemin de mon logis Air Bibi, m’arrête à la pharmacie dans l’espoir de contrer le mal de gorge qui a remplacé mon rhume. Je repars avec vingt-quatre comprimés à sucer arôme fraise et un spray aux huiles essentielles. Le tout pour treize euros. J’espère que ces friandises soulageront la douleur.
A midi, je rejoins le Café de la Plage. Au menu, c’est Pinsa Romana jambon de Bayonne pesto et burrata, brochette de bœuf riz basmati sauce satay, entremet aux trois chocolats. Hier, j’ai réservé une table haute dans le bar pour échapper aux familles à moutards de la salle de restaurant et j’ai bien fait. Elles sont aussi nombreuses que l’autre jour.
Je mets beaucoup de temps à manger à cause de ma gorge douloureuse. Point de café ce jour. Je me sens patraque. Je rentre à la maison pour me soigner et achever le rattrapage de publication de mon Journal.
Mon petit déjeuner terminé, je suis une fois encore le bord de la mer jusqu’au Portrieux puis arpente les ruelles intérieures de ce quartier autrefois habité par des pêcheurs. On y trouve de jolies maisons et la chapelle Sainte-Anne, toute blanche, un peu cachée par les arbres.
Ce début de matinée est ensoleillé. La terrasse du Poisson Rouge s’impose, face au Port où flottent les petits bateaux. Les commerçantes du coin prennent leur café quotidien en parlant des films qu’elles ont envie de voir. Comment ne pas faire oublier son âge ? En parlant du cinéma en l’appelant le cinoche.
Quand le ciel se couvre, je lève le camp et, sur le chemin de mon logis Air Bibi, m’arrête à la pharmacie dans l’espoir de contrer le mal de gorge qui a remplacé mon rhume. Je repars avec vingt-quatre comprimés à sucer arôme fraise et un spray aux huiles essentielles. Le tout pour treize euros. J’espère que ces friandises soulageront la douleur.
A midi, je rejoins le Café de la Plage. Au menu, c’est Pinsa Romana jambon de Bayonne pesto et burrata, brochette de bœuf riz basmati sauce satay, entremet aux trois chocolats. Hier, j’ai réservé une table haute dans le bar pour échapper aux familles à moutards de la salle de restaurant et j’ai bien fait. Elles sont aussi nombreuses que l’autre jour.
Je mets beaucoup de temps à manger à cause de ma gorge douloureuse. Point de café ce jour. Je me sens patraque. Je rentre à la maison pour me soigner et achever le rattrapage de publication de mon Journal.



