Le Journal de Michel Perdrial
Le Journal de Michel Perdrial



Loïc Boyer
Je suis l’auteur de textes courts qui furent publiés depuis mil neuf cent quatre-vingt-quinze dans des revues littéraires en France (Supérieur Inconnu, Supplément d’Ame, Nouvelle Donne, Le Bord de l’Eau, Pris de Peur, l’Art du Bref, Sol’Air, Gros Textes, Salmigondis, Verso, Décharge, Bulle, Filigranes, Diérèse, Martobre, Comme ça et Autrement, (Cahier d’) Ecritures, La Nef des Fous), en Belgique (Traversées, Ecrits Vains, L’Arbre à Plumes, Inédit Nouveau, Bleu d’Encre), au Canada (Les Saisons Littéraires) et en Italie (Les Cahiers du Ru).
Les courageuses Editions du Chardon ont publié en mil neuf cent quatre-vingt-dix-neuf Erotica, un recueil de vingt-huit de ces textes, illustré par Isabelle Pio et Antoine Lopez et préfacé par Sarane Alexandrian, toujours disponible auprès de moi.
Je suis également l’auteur d’une pièce de théâtre et de plusieurs romans ou récits à ce jour inédits.
Depuis le onze novembre deux mille six, je publie mon Journal via Internet, un temps sous-titré Persiflages, moquages et autres énervages mâtinés de complimentages et de contentages. Sa première partie est lisible chez Eklablog, la deuxième ici.
Je vis au centre de Rouen dans un ancien monastère où autrefois les Sœurs de la Miséricorde se vouaient à l’éducation des jeunes filles.







Rss

Dialogue with Rothko de Carolyn Carlson à l’Opéra de Rouen

13 novembre 2015


Gé Dix-Sept, fauteuil isolé un peu décentré, donc à ma convenance, ce mardi soir à l’Opéra de Rouen pour voir Carolyn Carlson dans son solo Dialogue with Rothko, une heure dix sur scène à soixante-douze ans, c’est la première fois que j’assiste à un spectacle de danse dans lequel l’artiste sur scène et la grande majorité du public sont dans la même tranche d’âge.
Carolyn Carlson est accompagnée par le violoncelliste Jean-Paul Dessy, Directeur de l’Ensemble Musiques Nouvelles de Mons, à qui l’on doit la musique de cette « poésie visuelle ». Un épiscope et des cadres écrans à projection font décor.
Cette lecture personnelle de Untitled (Black, Red over Black on Red), visible au Centre Pompidou, me plaît bien mais je ne sais si c’est la faute au violoncelle, il m’arrive de frôler l’endormissement. Peut-être devrais-je pratiquer comme la toujours jeune Carolyn Carlson  le qi gong chaque matin.
                                                        *
Onze/Onze/Quinze : neuf ans que ça dure, ce Journal.