Le Journal de Michel Perdrial
Le Journal de Michel Perdrial



Loïc Boyer
Je suis l’auteur de textes courts qui furent publiés depuis mil neuf cent quatre-vingt-quinze dans des revues littéraires en France (Supérieur Inconnu, Supplément d’Ame, Nouvelle Donne, Le Bord de l’Eau, Pris de Peur, l’Art du Bref, Sol’Air, Gros Textes, Salmigondis, Verso, Décharge, Bulle, Filigranes, Diérèse, Martobre, Comme ça et Autrement, (Cahier d’) Ecritures, La Nef des Fous), en Belgique (Traversées, Ecrits Vains, L’Arbre à Plumes, Inédit Nouveau, Bleu d’Encre), au Canada (Les Saisons Littéraires) et en Italie (Les Cahiers du Ru).
Les courageuses Editions du Chardon ont publié en mil neuf cent quatre-vingt-dix-neuf Erotica, un recueil de vingt-huit de ces textes, illustré par Isabelle Pio et Antoine Lopez et préfacé par Sarane Alexandrian, toujours disponible auprès de moi.
Je suis également l’auteur d’une pièce de théâtre et de plusieurs romans ou récits à ce jour inédits.
Depuis le onze novembre deux mille six, je publie mon Journal via Internet, un temps sous-titré Persiflages, moquages et autres énervages mâtinés de complimentages et de contentages. Sa première partie est lisible chez Eklablog, la deuxième ici.
Je vis au centre de Rouen dans un ancien monastère où autrefois les Sœurs de la Miséricorde se vouaient à l’éducation des jeunes filles.







Rss

Allez zou, plus de masque ni de passe vaccinal

14 mars 2022


Ce lundi est le jour de l’abandon du passe vaccinal et du masque (sauf dans les transports). Est-ce bien raisonnable ? Déjà ce masque n’était plus de mise dans les lieux de stagnation collective (cinémas, théâtres, etc.). C’est sans doute une coïncidence mais le taux d’incidence remonte depuis une semaine, et sérieusement.
Parmi les nouveaux malades du Covid, ma sœur et mon beauf, dont la vie est plus sédentaire et tranquille que la mienne. Pas de bars, pas de restaurants, pas de librairies, pas de bus, de trains ou de métros pour eux et ils n’ont reçu personne ces derniers temps. Hormis pour faire des courses, ils ne sont sortis que pour aller à un rendez-vous hospitalier.
Ce n’est pas de nature à me faire remiser le masque. Je vais continuer à le porter à l’intérieur. Quant au passe vaccinal, je garde le mien en poche et en mets une copie dans ma valise. Afin de n’être pas hors-jeu s’il venait à être réactivé dans les semaines à venir.
                                                                     *
Une quatrième dose de vaccin pour les plus de quatre-vingt ans. Une nouveauté à laquelle je n’ai donc pas droit (pas assez vieux).
Depuis le début de la guerre du Covid, je suis dans la mauvaise cohorte. Pas eu le droit d’être vacciné parmi les premiers. Pas eu le droit à autre chose qu’à AstraZeneca pour les deux premières doses. Pas eu le droit à la troisième avant que se soient écoulés six mois, alors que pour les suivants ce fut cinq mois, puis quatre mois, puis trois mois.